L'Etat Voyou !

Publié le par Bestfriend

Le terme d'Etat Voyou a été utilisé pour désigner des régimes comme la Libye de Kadhafi (Dans les années 80 par l'administration Reagan, retirée de la liste en 2004), ensuite l'Iran des Ayatollahs ou l'Irak de Saddam Hussein avec qui il est était presque impossible de discuter, en qui il était impossible d'avoir confiance et dont les activités avaient pour but de s'en prendre aux intérêts occidentaux, par des moyens sortant du cadre légal. La seule manière de faire avancer les choses avec ces Etats étant la confrontation armée ou la menace d'y recourir.

Plus la situation évolue en France, plus je suis convaincu que la décrépitude de plus en plus visible de notre pays, son déclin économique, son endettement toujours plus consistant, la déliquescence de la société, la dégradation de la sécurité, est causée par l'existence au sein même de la sphère publique française, d'un Etat Voyou, un monstre étatique qui ne veut en rien le bien du pays mais semble prêt à le faire aller vers le chaos tant qu'il s'agit de maintenir sur lui une emprise totalitaire.

Notre Etat hypertrophié a montré lors de la crise sanitaire à quel point il nous protégeait beaucoup moins bien que ceux de nos voisins, et ceci malgré les dépenses publiques et parapubliques les plus élevées du monde. Il a aussi montré à quel point cette mafia d'énarques et de soviets méprisait totalement les libertés des citoyens honnêtes, à qui elle pouvait imposer un confinement abusif durant des semaines, dont elle pouvait stopper les activités selon des critères ubuesques (ex. les petits commerces au 2e confinement), alors qu'elle se couchait encore face à ceux qui ont dans ce pays un pouvoir de nuisance. On peut même parler, lorsque l'on voit en pleine pandémie, dans un pays en crise, avec des commerçants au bord de la rupture, d'une complicité entre les blacks blocs et cette voyoucratie qui s'est emparé des rouages essentiels de la République.

Idéologiquement, les blacks blocs sont en fait très proches d'une bonne partie des syndicats de fonctionnaires et en particulier ceux de l'Education Nationale, de l'Audiovisuel Public et pire encore de la Magistrature; sans doute sont-ils issus des mêmes familles. Vous pensez vraiment que si ces bandes ultra-violentes qui semblent agir en toute impunité et de plus en plus violemment depuis 5 ans, pouvaient être qualifiées "d'extrême-droite", les manifestations continueraient d'être autorisées?? Vous avez vu d'ailleurs à quel point il était permis de s'en prendre violemment à des familles manifestant en 2013 contre le Mariage pour Tous  (je rappelle que je suis pour le droit des homosexuels à se marier), parfois aussi contre les Gilets Jaunes quand la presse de gauche pointait les relations d'Eric Drouet avec le Rassemblement National, et comment au contraire, la Police n'ose guère intervenir sur des manifestants qui commencent à casser des vitrines, et encore moins s'en prendre à ceux qui les protègent dans des cortèges des mouvements tels que le NPA, SUD, CNT, UNEF, Justice pour Adama ect..

Le gouvernement et les élus sont, face à ces bandes, totalement impuissants; car la Justice du "Mur des Cons", le Conseil d'Etat et le Conseil Constitutionnel leur lient totalement les mains. Ce dernier a notamment annulé une disposition qui prévoyait d'interdire de manifester à une personne condamnée pour des violences dans une manifestation précédente. De même, la fouille des sacs avant une manifestation est rendue presque impossible, selon l'avis de la Ligue des Droits de l'Homme, pour les forces de l'ordre puisque celle-ci nécessite un mandat de perquisition délivrée par un juge; sinon, le manifestant interpelé par la Police a le droit de faire demi-tour sans être fouillé et d'aller rejoindre la manifestation, voire de casser juste un peu plus loin. Le Syndicat de la Magistrature a même édité un" Guide du Manifestant Arrêté", pour savoir comment éviter les ennuis judiciaires même lorsque l'on a pu faire exploser quelques vitrines ou brûlé quelques voitures. 

Ce droit de manifester, du moins lorsque l'on est de gauche semble donc infiniment supérieur au droit à la sécurité des citoyens, au droit de propriété d'une voiture et au droit des commerçants d'arriver à remonter la pente lorsque la plupart des Samedi dans les grandes villes sont l'occasion pour quelques groupuscules de continuer à les terroriser. Les énergumènes interpelés ne sont déjà pas très nombreux et s'en sortent toujours avec des peines dérisoires car il est fort compliqué d'établir les preuves que tel individu fait bien partie du groupe de casseurs cagoulés, tous habillés en noir qui a commis des dégradations, voire balancé des cocktails molotov sur des CRS. Et puis, la justice du "Mur des Cons" sait très bien que ces manifestants de gauche font partie du même camp que leurs syndicats qui empêchent depuis 40 ans le pays de réformer sa sphère publique et d'entrer dans le 21e siècle. Les condamnations sont rares et très légères.

La sphère publique en France dépensait en 2019, près de 150 milliards de trop, si on compare avec les ratios des pays voisins, puisqu'elles représentent 57% du PIB contre moins de 45% en moyenne dans l'Union Européenne. Dépenses qui ne sont pas compensées par la fiscalité la plus confiscatoire du monde occidental, et donc qui génèrent, même en dehors des périodes de crise, un endettement toujours croissant. Nous sommes pratiquement le seul pays de l'UE où la dette publique s'est aggravée entre 2013 et 2019 !! Dans le détail, les causes de ces dépenses excessives sont connues, et depuis longtemps : Sureffectifs dans la fonction publique et les entités parapubliques, déficit d'une Sécurité Sociale  au budget de 550 milliards annuels mais gérée comme un kolkhoze, attribuant aveuglément des allocations à la terre entière, déficit des retraites que l'Etat doit combler chaque année (25 milliards en 2019), politique du logement ruineuse avec 70 milliards dépensés sans aucune efficacité, subventions de 70 milliards aux associations dont beaucoup sont politisées, budget aussi de la culture, de l'audiovisuel public ect... En clair, les sommes dilapidées sans grand soucis du respect des deniers publics servent pour l'essentiel au clientélisme de gauche, et on voit d'ailleurs que la gauche n'a jamais voulu mener une réelle politique d'économie et s'est toujours opposées à celles que la droite a plus ou moins mis en oeuvre.

Nous voyons quelque chose de très malsain sous nos yeux avec un harcèlement judiciaire de l'opposition de droite, en particulier les proches de Nicolas Sarkozy, comme jamais le pays ne l'a connu, et dont il y a peu de cas dans les autres démocraties, pour des faits qui sont en fait totalement anecdotiques. Les magistrats après avoir utilisé des moyens souvent considérables lors de l'instruction (les mêmes qui parlent du "manque de moyens") mettent en examen des élus, ou un ancien Président, un ancien Premier Ministre avec des qualificatifs volontairement infamants dès le départ: Fillon a droit à "Détournement de Fonds Publics" lorsque pour des faits similaires, on se contente "d'Abus de Confiance" pour Bayrou et Mélenchon, et zéro poursuite pour Hidalgo; Nicolas Sarkozy ayant lui droit à "Corruption" et "Association de Malfaiteurs". Ensuite, les peines requises sont monstrueusement lourdes comme on l'a vu lors du "procès des écoutes" où après en avoir pris plein la figure durant une semaine, les magistrats du Parquet National Financier (je n'ai toujours pas compris en quoi une promesse d'aide à une promotion lié à un dossier d'agendas concernait le PNF créé spécialement par le pouvoir socialiste), ont osé prononcer des peines comprenant 2 ans de prison ferme contre l'ancien Président, Thierry Herzog et Gilbert Azibert. Voyez la réalité des faits, leur aspect dérisoire à côté des 70, voire 130 milliards (suivant ce que l'on les classera au titre du laxisme budgétaire ou du clientélisme intentionnel)  dépensés, détournés chaque année pour servir la clientèle de la gauche, sa culture conformiste, ses médias bien peu pluralistes, une immigration qui n'est pas forcément venue avec de bonnes intentions mais risque guère de voter à droite.

Tout est lié. L'Etat Voyou vole l'argent des Français, puisqu'à part les fonctionnaires et les autres castres protégées ils n'ont pas le juste retour de l'argent qu'on leur ponctionne ou qu'on prend "aux riches", puisque les riches, pas mal s'en vont du pays, et n'investissent plus, ne créent plus d'emplois. L'Etat Voyou s'oppose à toute réforme qui remette en question ces détournements colossaux d'argent public, puisque même en cas de déroute électorale de la gauche, les élus n'ont pratiquement aucun pouvoir à côté des énarques et des soviets qui contrôlent tous les rouages de l'appareil d'Etat. De nombreux projets resteront lettre morte ou seront vidés de leur substance par l'Administration, cassés par le Conseil d'Etat ou retoqués par le Conseil Constitutionnel, dénoncés par exemple par le "Haut Conseil pour le Climat", tel ou tel autre "machin", et demain par une "Convention Citoyenne" issue d'un tirage au sort truqué.

Les médias de l'Etat voyou vont d'ailleurs copieusement démolir cette volonté de réduire la dépense publique, de donner des libertés aux entreprises avec des émissions comme celle d'Elise Lucet où on expliquera aux citoyens complices ou non, qu'on a "assassiné l'hôpital public" (alors que son budget =5% du PIB national, record mondial!), idem pour l'Education Nationale, que les attentats, c'est la faute des emplois supprimés par Sarkozy dans la police (La France avait un nombre de forces de l'ordres supérieur aux ratios européens en 2012 , Et pour les écoutes 24h/24 de l'ancien Président, l'Etat Voyou a utilisé des dizaines de fonctionnaires de police et des moyens refusés à l'antiterrorisme fin 2013 et début 2014). Au besoin, l'Etat Voyou organise la violence contre les décisions des élus qui ne lui conviendrait pas et ne conviendrait pas à ses troupes (Ex. Le malheureux Article 24, mais régulièrement les tentatives de réforme des retraites), avec des manifestations destinées à faire plier le gouvernement, à lui faire renoncer aux projets de baisse des effectifs de fonctionnaires, de baisse de crédit, de mise en concurrence de tel ou tel monopole parapublic (SNCF); et limite les possibilités de contenir ces violences destinées à saper le moral de la population, à abimer la crédibilité de l'exécutif, à faire renoncer une nouvelle fois aux réformes que tous nos voisins ont réalisés.

Et gare aux élus qui oseront mener, malgré tout, une politique contenant un soupçon de libéralisme; leur cas sera passé au crible pour déceler la moindre faille dans leur passé, la moindre incartade à des lois strictes comme celle du financement politique; les socialistes ayant par exemple limité à 20 millions d'€ environ le budget d'une campagne présidentielle, alors que Joe Biden vient d'en dépenser 6 milliards pour se faire élire, 300 fois plus !! (Les socialistes ayant pour appuyer leur campagne un Audiovisuel Public qui dispose de 4 milliards de budget annuel et une myriade d'associations subventionnées apportant alors une aide contournant les règles de financement). Pour s'assurer d'une totale partialité dans les poursuites, l'Etat Voyou a créé le Parquet National Financier dont on a déjà parlé mais a aussi favorisé la création d'associations prétendument "anti-corruption", comme Anticor et Sherpa qui sont comme d'autres (LDH, Sos Racisme) des officines chargées de traquer les politiciens de droite, d'ajouter des procédures judiciaires à celles du Parquet, et surtout de ne pas regarder du tout les milliards détournés par la gauche, le surendettement de telle ou telle ville (ex. Dette multipliée par 7 en 20 ans à Paris) ou de telle ou telle région (les Poitou-Charentes, en situation de faillite avant la réforme Hollande fusionnant les régions). Les autres associations évoquées ne sont pas en reste pour assigner devant les tribunaux tout propos pouvant s'apparenter à une stigmatisation des immigrés, des musulmans, voire pire, à du racisme (Exemple "Quand il y en a un, ça va, c'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes").

L'Etat Voyou ne laissera donc aucun répit aux élus qui auront osé aller à l'encontre de son pouvoir, ou pire auront voulu réaliser des économies de fonctionnement. Ils seront comme l'entourage de Sarkozy harcelés sans relâche par la justice du "Mur des Cons" avec le bras armé médiatique que constitue l'Audiovisuel Public ou des entités bénéficiant d'avantages fiscaux comme Médiapart qui ne paye que 2,1% de TVA sans aucune justification sérieuse (La presse papier a droit à ce taux pour compenser le surcoût d'impression et de la distribution de la presse en France).

Je ne sais pas comment tout cela va se terminer car l'Etat a selon moi perdu toute crédibilité. Pour reprendre les mots de Ronald Reagan avant son arrivée au pouvoir en 1980, "L'Etat n'est pas la solution, l'Etat est le problème". Certes, tous les fonctionnaires ne font pas partie de cet Etat Voyou, et la plupart sont des personnes qui vont travailler avec davantage l'envie de se rendre utile aux autres, qu'à renforcer la mainmise de leur secte gauchiste sur l'ensemble d'une société à l'agonie. Mais l'Etat Voyou que j'ai décrit me semble tout prêt de faire définitivement basculer le pays dans un totalitarisme sans retour, avec toujours de nouvelles raisons pour s'en prendre à nos libertés, comme l'alibi écologique maintenant utilisé matin, midi et soir (qui fera que bientôt on vous interdira d'acheter un SUV, puis un Monospace, puis autre chose qu'une caisse à savon électrique à 45 000 €, et enfin tout mode de transport individuel à part le vélo?). L'Etat Voyou qui dans le même temps laissera entrer, quelque soit les prochains scrutins, quelque soit le score du Rassemblement National (s'il n'a pas été interdit) , toujours plus d'immigrés en vous faisant croire via les médias aux ordres (les autres comme CNews pouvant aussi être interdits) que c'est l'Occident qui est responsable du malheur de ces gens, et non l'explosion démographique qui va faire encore quadrupler la population au sud du Sahara d'ici l'an 2100.

La majorité silencieuse et laborieuse va-t-elle se réveiller pour débarrasser le pays de cette dictature qui n'ose pas dire son nom? Bonne Année 2021 malgré tout !

 

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C
Je poste just une remarque préliminaire (je n'ai pas encore lu tout le poste) sur l'affaire "du militant antifasciste Clément Méric" (présentation biaisée de Wikipédia, le site d'ultra gauchiasse se faisant passer pour une encyclopédie). <br /> <br /> D'après Marie Claire :<br /> <br /> "Alors que les témoins de la mort de Clément Méric parlaient de lynchage, une vidéo de la RATP montre que le militant d’extrême gauche avait tenté de frapper le skinhead avant de recevoir un coup fatal, le 5 juin<br /> (...) confirmant ainsi la version des skinheads selon laquelle c’est le jeune étudiant de Science-Po qui aurait lancé les hostilités"<br /> <br /> Source : https://www.marieclaire.fr/,clement-meric-la-video-qui-derange,20123,694707.asp<br /> <br /> On voit ce que la bien pensance de Science Po produit : de minables et grotesques petits justiciers auto proclamés qui ne savent même pas qu'ils tiennent à peine debout. Un manque de conscience de soi, par égocentrisme et désir primaire d'illimitation hors nature (+) qui faisait que le nervi Méric ne savait pas qu'il sortait forcément affaibli d'une grave maladie (il avait eu une leucémie).<br /> <br /> (+) Illimitation, égocentrisme et narcicisme : thèmes récurants chez le Dr Marc Girard voir en particulier https://www.rolandsimion.org/genre-lecole-neoliberalisme/ : <br /> "... que l’être humain se construit aussi au travers de contraintes incontournables dont les deux premières, très proches sur la durée de vie d’un individu, sont les suivantes: i/ on ne choisit pas ses parents; ii/ on ne choisit pas son sexe. Ça fait les pieds, comme on dit – et c’est bien ce qui semble exaspérer nos narcisses contemporains"<br /> On rapprochera le délire de puissance de Méric avec le délire des transexuels exigeant d'être reconnus comme d'un autre "genre" ou "sexe".<br /> <br /> "le ministre de l’Intérieur Manuel Valls avait indiqué dans un communiqué sa « totale détermination à éradiquer cette violence qui porte la marque de l'extrême droite. »"<br /> <br /> Puisque l'agression part bien du soi-disant "antifasciste", est-ce que Valls, soi-disant de droite extrême (*) a fait contre cette extrême droite estampillée antifasciste ou ANTIFA de Science Po?<br /> <br /> (*) selon les blaireaux du PS, ceux là qui ont choisi aux primaire de la gauche le minable mangeur de kebab (en plein ramadan) mangeant avec bravoure dans une "ville d'extrême droite" (ce que prouve qu'on ne risque rien à manger des kebabs dans ces villes)<br /> <br /> Surtout en quoi ces gens sont autre chose que des MILICES? Puisqu'ils prennent sur eux de "punch a nazi" et autres slogans aussi grotesques qu'incitant à la violence sur les gens qu'ils désignent?<br /> <br /> On nous gave avec les soi-disant "milices" (#) armées des USA avec des red neck débiles défilant avec armes et qualifiés de "nationalistes" (ou même "suprématistes") "blancs" (##).<br /> <br /> (#) sous entendu, milices comme celle de l'Occupation - alors que c'est juste le principe contraire à la milice de Vichy, qui était une milice aux ordres du Pouvoir et non une milice populaire capable de résister au Pouvoir<br /> (##) dernièrement, la star du qualificatif "suprématiste blanc" est un ... latino chef d'une section locale de la fraternité pro-Trump "Proud Boys"<br /> <br /> L'état voyou, c'est la "justice" qui considère Méric qui est objectivement <br /> 1) l'agresseur, <br /> 2) le justifier auto proclamé prétendant combatre le "fascisme" par "anti fascisme",<br /> 3) celui qui attend et qui veut piéger et casser la figure à 10 contre 1 (ils n'étaient que 3 ou 4, mais ils auraient voulu être 10) un "nazi", <br /> donc 4) un pur MILICIEN, qui aurait peut-être aimé être un PARA MILITAIRE <br /> comme la "victime" d'un "nervi d'extrême droite", qui dans ce cas précis (je n'ai pas connaissance de ses antécédents et je m'en fiche dans de le cas d'espèce) était la VICTIME d'un TRAQUENARD.
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C
J'ajoute que GI (Génération identitaire) est dénigré et a été dissoute sur une série d'éléments périphériques et franchement grotesques mais la critique centrale est que GI se permette de rappeler (symboliquement) l'existence de frontières alors que :<br /> <br /> - les ANTIFA prétendent "combattre" (c'est leur propre lexique) l'extrême droite;<br /> - sur Twitter et ailleurs, ils encouragent des slogans comme "punch a nazi" (un prétendu "nazi" qui peut être toute personne "suprématiste blanc" ce qui n'implique pas d'être .... blanc puisque les médias mainstream ont avalisé l'idée de suprématisme blanc par des latinos ou autres personnes pas du tout blanche);<br /> - Greenpeace s'arroge le droit de pénétrer dans l'enceinte d'une centrale nucléaire pour illustrer la vulnérabilité de sa ... frontière (ils croient que les frontières doivent être mieux sécurisées?); depuis des années et avec des condamnations purement symboliques!<br /> <br /> Quand allons-nous prendre ces bouffons souvent grotesques mais parfois dangereux suffisamment au sérieux pour condamner sévèrement leurs agissements?<br /> <br /> Et je n'ai pas évoqué le pire du pire de la voyoucratie systémique : les soi-disant faucheurs "volontaires", c'est à dire les destructeurs de cultures, les terroristes anti biotechnologies... soutenus par des "partis de gouvernement" et membres d'alliances. La droite n'ayant JAMAIS appelé à faire barrage à ceux qui ont détruit ce secteur économique en France et offert l'avantage à l'Amérique... ce qui est en principe une TRAHISON!!!!<br /> <br /> La droite est minable, minable, minable!